Journée internationale de l'Afrique : « Réfugiés, Rapatriés, et Déplacés Internes : Vers des Solutions Durables au Déplacement forcé en Afrique »
Media7.info- A l’approche de la célébration de la journée internationale de
l’Afrique, l’Institut Africain de Développement Économique et de Planification (IDEP),
convie le 23 mai 2019 à Dakar, une conférence-débat de haut niveau sur le thème
retenu par l’Union africaine (UA) pour l’année 2019.
l’Afrique, l’Institut Africain de Développement Économique et de Planification (IDEP),
convie le 23 mai 2019 à Dakar, une conférence-débat de haut niveau sur le thème
retenu par l’Union africaine (UA) pour l’année 2019.
Cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre de la Série de Séminaires de l’IDEP sur le Développement, est organisée sur demande des Ambassadeurs du Groupe Africain du corps diplomatique accrédité au Sénégal.
L’UA a proclamé l’année 2019 ; « Année des réfugiés, des rapatriés et des personnes
déplacées : Vers des Solutions Durables au Déplacement forcé en Afrique », coïncidant
avec le dixième anniversaire de l’adoption de la Convention de Kampala sur les
réfugiés, premier instrument juridique contraignant concernant les réfugiés.
Plus du tiers des 68 millions de personnes déplacées de force dans le monde, se
trouvent en Afrique1
. Conflits, violations des droits de l’homme, catastrophes
naturelles, problèmes graves de santé publique, crise humanitaire, etc. peuvent être à
l’origine de ces déplacements forcés de populations africaines. En adoptant un Cadre
de politique migratoire 2018-2030 et un plan d’actions pour sa mise en œuvre, les
dirigeants africains conviennent de la nécessité de formuler des réponses holistiques
et inclusives aux tendances lourdes de la migration et les dynamiques migratoires
actuelles dans notre continent. Il s’agit d’un cadre stratégique qui devra guider les États
membres et les Communautés Économiques Régionales (CER) dans la gestion des
migrations en Afrique. Le déplacement forcé fait partie des huit piliers identifiés par le
Cadre de politique migratoire de l’UA pour l’Afrique.
L’objectif général de la rencontre diplomatique est d’approfondir la réflexion sur les
causes profondes du déplacement forcé en Afrique, discuter de ses conséquences et
proposer des solutions durables.
La conférence réunira des ambassadeurs du groupe africain du corps diplomatique
accrédité au Sénégal et leurs homologues des autres continents, des fonctionnaires de
haut-niveau, des représentants d’organisations internationales ainsi que des
universitaires et chercheurs travaillant sur des questions relatives au développement
du continent.
déplacées : Vers des Solutions Durables au Déplacement forcé en Afrique », coïncidant
avec le dixième anniversaire de l’adoption de la Convention de Kampala sur les
réfugiés, premier instrument juridique contraignant concernant les réfugiés.
Plus du tiers des 68 millions de personnes déplacées de force dans le monde, se
trouvent en Afrique1
. Conflits, violations des droits de l’homme, catastrophes
naturelles, problèmes graves de santé publique, crise humanitaire, etc. peuvent être à
l’origine de ces déplacements forcés de populations africaines. En adoptant un Cadre
de politique migratoire 2018-2030 et un plan d’actions pour sa mise en œuvre, les
dirigeants africains conviennent de la nécessité de formuler des réponses holistiques
et inclusives aux tendances lourdes de la migration et les dynamiques migratoires
actuelles dans notre continent. Il s’agit d’un cadre stratégique qui devra guider les États
membres et les Communautés Économiques Régionales (CER) dans la gestion des
migrations en Afrique. Le déplacement forcé fait partie des huit piliers identifiés par le
Cadre de politique migratoire de l’UA pour l’Afrique.
L’objectif général de la rencontre diplomatique est d’approfondir la réflexion sur les
causes profondes du déplacement forcé en Afrique, discuter de ses conséquences et
proposer des solutions durables.
La conférence réunira des ambassadeurs du groupe africain du corps diplomatique
accrédité au Sénégal et leurs homologues des autres continents, des fonctionnaires de
haut-niveau, des représentants d’organisations internationales ainsi que des
universitaires et chercheurs travaillant sur des questions relatives au développement
du continent.
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